Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • JEU CONCOURS!!!! YVES DUTEIL

    Bonjour chers patients.

    Aujourd'hui, le Docteur Petiot (dont je n'ai pas de nouvelles malheureusement) et moi-même vous proposons un grand jeu concours du plus haut intérêt: une improvisation sur un thème du célèbre chanteur à texte français Yves Duteil (un ami proche).
    Votre mission est de parodier cette phrase extraite d'une de ses merveilleuses chansons:
    "j'ai la guitaaare qui me démange, alors j'la gratte un p'tit peu..." (j'ai exagéré le nombre de "a" pour que vous puissiez retrouver le rythme).

    Afin de vous guider, je donne l'exemple et la mesure en vous proposant un modèle sur lequel vous pouvez vous calquer :
    "mon mari c'eeest Jacques Dessanges, il me cou-pe les cheveux".
    Etant assez fier de cette interprétation personnelle, j'ai décidé de la noter largement avec un bon 18,5/20.
    La barre est donc très haute.
    Relèverez-vous le défi? trouverez-vous l'inspiration? Oserez-vous vous confronter à la poésie postmoderne de notre ami Yves Duteil? et essayer de faire mieux que votre dévoué Docteur Pangloss?

    NOTA BENE: Yves Duteil sera le seul juge de ce concours. Je ne fais que l'assister et lui seul décidera de qui méritera le Duteil d'or 2005. Inutile de dire que je vais tout faire pour gagner...mais bon, il est incorruptible cet enfoiré. Bon, dernière précision, j'aime bien Yves mais il est pingre comme un collectionneur de capsules, alors n'espérez pas obtenir de cadeau, chèque, rencontre avec l'artiste ou autre cd dédicacé... rien rien rien.
    On s'en fout, le prestige que diable.

    Bonne chance.
    Clôture du concours mercredi matin (après le pont)... mmm

    Votre Docteur préféré, Gérard Pangloss.

  • L'âme de fond.

    tout feu, tout flamme, la bouche pleine de napalm, mon pantalon qui crame, j'enfile mon masque, mon tuba et puis mes palmes.
    En route pour le vietnam je me régale à l'idée de manger de l'igname.
    Tous ces villages pleins de dames, tous ces similis amsterdam, je plonge mon nez dans de l'edam en maudissant l'Uncle Sam. Une malédiction ou bien un drame? notre monde devient infame. Il suffit de voir tous ces cons que l'on acclame, tous ces cierges qui crament. La société part à la dérive alors on sort les rames.
    Moi qui n'ai rien à me repprocher, je m'écarte de ce vacarme puis m'en vais la paix dans l'âme...

    Docteur Pangloss, (donneur de leçons et grand démagogue) vous salue bien haut.

  • Faut pas bouddher...

    Pire qu'un boudin au pommes,... un bouddha aux pommes.
    Très indigeste, le bouddha aux pommes est à déconseiller à celles et ceux qui souffrent d'acidités gastriques, d'une petitesse du fondement, ainsi qui font souvent l'objet de graves crises constipatoires.
    De taille importante, difficile à mâcher, surtout lorsqu'il est en bronze ou en or massif, le bouddha aux pommes exige une ingestion sans mastication; ce qui bien évidemment suppose une évacuation fort incommodante et douloureuse lors de la défécation. Je vous laisse imaginer ce grand moment de solitude lorsqu'au moment de libérer le précieux objet de culte, une de ces deux oreilles géantes reste coincée à mi-chemin.
    Le spectacle n'est guère réjouissant, et les frais médicaux occasionés par ce désagrément ne sont pas à la portée de toutes les bourses. L'opération qui consiste à extraire du fondement le bouddha est très douloureuse, très coûteuse, et qui plus est, n'est pas remboursée par la sécurité sociale.
    Je vous dissuade donc chers patients de goûter à ce met très prisé et de vous rabattre sur un ordinaire boudin aux pommes...plus classique, moins exotique, j'en conviens, mais tellement plus pratique à évacuer par voies naturelles.

    amicalement,

    votre dévoué Docteur Pangloss.

  • Poésie d'un zizi poête assis sur son transat.

    Marsouin volupteux aux sourcils broussailleux, fier destrié au cul crotté, venez dans mon chateau vous délecter d'un bon gateau...
    La princesse dort à poings fermés dans le lit du fermier, binant ses fesses non sans caresses.
    Le manoir est grand, entouré de chênes laissant choire moultes glands sur le parterre de gazon de mon voisin Félicien.
    Un côté soyeux, un côté rêche, le poil bien gras dans tous les cas, et du sebum dans les mêches; c'est comme celà qu'il vient à moi tous les matins, feignant de ne pas remarquer la tranche de lard collée sur mon veston.
    Je suis heureux d'être son ami, de comparer mon zizi avec le sien... et chaque jour sur le sofa, de faire pouetpouet caca. Non, cette personne n'est pas un homme, c'est Theresa qu'elle se nomme...

    à suivre.

    Gérard Pangloss, médecin traitant, et poête de talent.