Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

aimez vous les intrafessiers?

  • Promotion spéciale sur le Vagiflex

    Cher Gérard, je te reconnais bien là : tu virevoltes gaiement, tel un joyeux leprechaun pétri d'entousiasme et teinté de cette émotion si vive qui enflammait les messie de jadis en pleine profession de foi...
     
     
     Mais tu oublies de préciser que le Vagiflex Pangloss Petiot TM est doté d'une poire à lavement à grande vitesse et d'une langue bionique de tamanoir à succion rotative pour une caresse testiculaire optimisée, celle-ci ayant été greffée par nos soins sans production de phosphates ni de CO2. 

     
     De plus la température interne est réglable avant et pendant l'utilisation du Vagiflex au moyen d'un thermostat ergonomique - et décoratif (il est couvert de timbres à l'effigie de Miss France 2008) vous permettant à tout instant d'augmenter ou de baisser la chaleur de votre partenaire virtuelle et, ce, au gré de vos envies !
     

     Une mini-webcam peut être intégrée - en option, au sein même de l'utérus factice afin d'immortaliser vos meilleurs moments (pour les déviances les plus exigeantes), supplément 89 euros.


     Et pour les 10 premiers acquéreurs de ce petit bijou de technologie, une mallette 'Soirée Family Gold'a été ajoutée :

     Elle comprends 4 superbes ensembles en latex fuchia et kaki dans un nouvel elastane très extensible permettant d'habiller toute la famille, un martinet à clous, 12 mètres de fil de fer barbelé, une magnum de Champomy,  quatre sachets de soupe asperge-potiron lyophilisée ainsi qu'un lot de trois exemplaires de notre fameuse Maxi Bougie Chauffante Pangloss Petiot TM qui ravira aussi bien grands et petits.

     
     Alors est-ce qu'on en fait pas toujours plus pour le confort de nos patients ?


     Amicalement, Docteur Petiot.








     Nous informons notre très aimable clientèle de bien vouloir se référer à la nouvelle grille d'honoraires et de facturations 2008 (consultable sur internet sur http://wwwlecabinetpanglosspetiotestvraimentlecentremedicalderevequiconvientatoutepersonnemaladecommesaine.fr/leschoses/lestrucs/lessous/cestcombien), afin d'éviter toute situation embarassante.


    T630-1b.jpg T630-1b.jpg

  • Vivre avec ses acoufounes.

    Bonjour chers patients,

    Combien d'entre vous sont victimes au quotidien de troubles auditifs, de sifflements persistants dans le conduit auditif?
    Combien d'entre vous entendent sans cesse le mot "foune" dès le réveil et toute la journée durant? Celui-ci résonne dans votre cerveau et devient un véritable fléau.
    Trouver le sommeil est un calvaire, même après une cuite au beaujolais? C'est dire l'ampleur qu'a pris ce mal sur votre état psychologique...
    Vous êtes allés voir les plus éminents scientifiques et aucun n'a su vous apporter explications, traitements appropriés, voire un réconfort (quelle bande de cons)...
    Aujourd'hui vous êtes à bout de force, harrassé par ces années à vous demander ce qui vous arrive sans trouver d'éléments de réponse.
    Vos proches vous délaissent car votre maladie vous rend très irascible. Votre vie sociale s'en trouve considérablement bouleversée:
    Incapable de vous concentrer, vous négligez les tâches essentielles qui composent votre quotidien dans votre entreprise... vous perdez votre emploi.
    Sans ressources, sans amour propre, vous délaissez votre femme (qui de toutes façons allait voir ailleurs depuis bien longemps car vous avez une petite bite... mais passons).

    Votre maladie porte un nom chers patients, "l'acoufoune" et seuls le Docteur Petiot et moi-même avons trouvé l'origine de ce mal...
    Et ce mal, le voici:

    Vous êtes sodomites? (vous aimer baiser votre compagne par les fesses)... jusque là, pas de problème, j'en fais autant avec mon labrador...
    Seulement voilà, vous culpabilisez de n'aimer faire que ça. Faire la besogne par le vagin vous ennuie considérablement.
    L'origine du mal est bien là chers amis... Vous vous percevez comme un déviant, un être anormal et salace.
    Vous n'assumez pas ce penchant lubrique et votre côté "rondelle à grumeaux". vous ne vous voyez plus que comme un "tasseur de caca invétéré", "un pourfendeur de boite à suchard" (je reprends les termes de certains patients qui s'étaient confiés à Marcel et à moi).
    Votre culpabilité est telle que votre subconscient génère une psychose hallucinatoire auditive. Vos acoufounes ne sont que la résultante de cette incapacité à assumer votre désamour pour cette partie du corps de la femme qui chez vous n'a que très peu d'attrait...

    Chers patients, nous sommes navrés de vous le dire mais dans votre cas, il n'y a pas encore de remèdes chimiques disponibles, pas de goutes, pas de suppositoires, ou autres spray oriculaires.
    Nous pouvons seulement vous conseiller l'achat d'un vagin en plastique (disponible dans la boutique du Cabinet Pangloss Petiot TM), afin de vous refamiliariser avec la pratique basique qui constitue le quotidien morne de 92% des couples, c'est à dire, l'amour à l'ancienne, dans les règles du lard (euh pardon... de l'art) avec tapage du biniou dans l'ancestrale motte féminine.

    J'entends déjà nos détracteurs dire que nous n'apportons pas de solution concrète à vos problèmes mais je sais qu'au fond, vous êtes déjà ravis d'apprendre que vous pourrez acheter nos vagins artificiels au prix modique de 250 euros dans notre boutique.
    Vous pouvez également vous rassurer en vous disant que certains patients souffrent d'acoubite (ils n'assument pas leur côté bite); d'autres, d'acouraclette (ils n'assument pas leur penchant raclette); d'acoustique (ils n'assument leur côté stique); d'acouponcture (ils n'assument pas leur côté poncture)... etc etc etc...
    alors? rassurés?

    Merci de votre attention,
    votre indétronable Docteur Pangloss

  • Torseurs, tenseurs… Et ta sœur !?

    Jeudi matin, à l’heure où à l’ordinaire les gouttes de rosée règnent encore, tapissant de cette fraîcheur brillante les étendues herbeuses du domaine attenant au cabinet, les nuages par un coquin hasard avaient décidé de priver de lumière des champs plus boueux que verdoyants.

     

    Incroyable mauvais temps !

     

    S’il est propice aux nostalgies de toutes sortes je ne vous apprendrais pas qu’il l’est aussi aux lombalgies automnales atteignant en ce milieu de saison la gente sénioriale qui s’était, de ce fait, entassée cahin-caha dans une salle d’attente claire et chaleureuse certes, mais aux velux sous-employés, conséquence d’une avarice atmosphérique de rayons solaires.

     

    Giovanni Giuseppi le père du charcutier, me confiait ainsi, alors que j’écoutais les sifflements geignants fruits de son asthme légendaire, que :

     

    « Hier déjà… Le dos qui crie un peu, vous savez, comme des pointes, mais pas tout le temps… et dès que je bouge c’est la catastrophe, la douleur se propage, et je peux plus rien faire. Ca c’est le mauvais temps vous savez… Hier soir je le sentais déjà arriver… »

     

    En rédigeant ma cinquième ordonnance de Voltarène (Claude), j’en vins à douter de la réelle utilité de mon action, qui, pour soulager le mal cyclique d’un vieux patient se limitait à quelques paroles rassurantes suivi d’une prescription de l’antalgique susmentionné. Alors que mon esprit errait entre le rêve d’une machine de type ‘à sous’, je veux dire par là munie d’un bras tournant actionneur de promesses, qui,  en disant quelques phrases stéréotypées de bienveillance active, enverrait des comprimés de Voltarène à son vieil utilisateur les jours de mauvais temps, et celui, à cent mille lieues de là qui me verrait organiser une sorte de ‘secrétaire académie’ qui permettrait au moyen d’un concours cabinet-réalité d’élire une nouvelle secrétaire pour ce lieu de soins, je fus bientôt happé par une particularité de l’anatomie de mon patient : une sorte de kyste violacé en forme de croissant encadrait la partie inférieure de son aisselle gauche !

     

    D’abord surpris de ne pas avoir remarqué cette singularité auparavant, je le fus encore bien plus par sa surprenante homomorphie avec une autre que je connaissais fort bien, mon éminent collègue le docteur Pangloss ayant approximativement la même saugrenuité épidermique bien que dans des coloris moins prononcés, au même endroit de l’abdomen.

    Si je n’en laissais rien paraître, j’avoue que cette découverte me laissa quelque peu décontenancé, mais, peu après le départ de mon patient, dépassant ma perplexité, je décidais sur un coup de tête des plus absurdes, de le prendre en filature. Trouvant le plus stupide des prétextes pour justifier mon départ, en l’occurrence celui d’une intervention chez un patient extrêmement souffrant, je m’échappais du cabinet par derrière, laissant à Josiane le soin d’expliquer au groupe de vieillards souffreteux l’impossibilité de les recevoir.

     

     

    Après avoir bondi à travers les fourrés puis coupé à travers champs, faisant fi des conséquences calamiteuses que pourraient avoir un tel comportement sur mes chaussures en croco, je retrouvais la trace du père du charcutier, qui, entre parenthèses avait lui aussi défendu la bannière de la saucisse et de la tripaille en son temps, marchant d’un pas tranquille vers le cœur du quartier.

     

    Reprenant mon souffle, je le suivais en maintenant une distance suffisante entre nous afin qu’il ne se rende point compte de ma présence. Après avoir parcouru trois cent mètres je le vis entrer dans un local de reprographie ; peu après, il en sortait une chemise cartonnée sous le bras. Il reprit son chemin qui le mena rapidement vers la pharmacie du coin-coin, tenue par Alfred et Ginette Canard à qui je dédicace ma prochaine opération d’appendicectomie, soit dit en passant.

     

    Sortant le sourire aux lèvres, Giovanni Giuseppi accéléra un peu la cadence de son pas et j’en vins à m’émerveiller des prodiges de l’effet psychologique que pouvait engendrer le seul achat du remède à ses douleurs. En même temps je me demandais quelle mouche avait bien pu me piquer pour que j’agisse aussi sottement dans la poursuite totalement dépourvue d’intérêt et encore plus de sens (!) d’un vieux patient heureux d’avoir acheté ses médicaments, et qui de plus serait certainement surpris voire méfiant ou plus sûrement inquiété si je me signalais à lui pour lui faire part de ma préoccupation de son originalité dermique, commune à Gérard.

     

    Quel était l’objet réel, de ma démarche ? Je m’avouais n’en rien savoir… Mais au fond de moi je pensais :

    « As-t-il un lien de parenté avec Gérard ? Sont-ils Gérard et lui membre d’une secte obscure – à caractère charcutatoire ? – dans laquelle les adhérents se mortifient l’aisselle ? Auraient-ils été victimes du même tortionnaire Serbe pendant des vacances en Croatie qui auraient mal tourné au détour des événements fâcheux qui obscurcirent la vie de tant de Slaves à la fin du siècle dernier ? »

     

    Reprenant le fil du réel je laissais mon esprit, alourdi de questions sans réponses plus absurdes les unes que les autres, à ses vagabondages, pour constater que pendant mes divagations, Giovanni Giuseppi sortait de sa troisième pharmacie de la matinée d’un pas maintenant alerte avec l’air guilleret de l’Aubagnais qui viendrait de produire le carreau décisif sur une boule cernée, en finale de la Marseillaise de pétanque.

     

    Chargé d’un nouveau sac à la croix verte caractéristique, qu’il eut tôt fait d’engloutir sous son manteau informe, mon charcut’man en retraite repris le cours de sa marche vers la place du marché. Surpris et perplexe je commençait à douter de la sincérité de ses maux, comprenant d’un coup que le bougre avait reproduit son ordonnance et maintenant se chargeait d’une cargaison de Voltarène dépassant tout entendement ou du moins la dose prescrite pour sa seule et vieille personne.

     

    M’interrogeant sur son honnêteté j’en vins à reconsidérer complètement la relation établie avec lui, en restant sans m’en rendre compte dans ma posture d’espion de vieux et sans agir autrement qu’en le suivant répéter encore son petit manège avant de le voir soudainement grimper sur un scooter pour m’échapper sans même s’apercevoir de mon désappointement exacerbé de curiosité.

     

     

    (… du sustèïnse…)

     

     

    à suivre, le ventre noué par l’angoisse,

     

     

     

    votre Petit Agent Petiot .

  • SPECIALE GOUÂTRE

    Qu'est ce que je suis fatigué...

    En ce moment l'heure des bilans a sonné et les hommes exceptionnels qui opèrent jour après jour dans ce cabinet de l'ultime, vont peu à peu préparer des vacances de plus en plus méritées.

    Tenez, pas plus tard qu'hier soir, une 'opération de groupe' visant à corriger la vue d'une escouade d'amateurs de parties fines, tous complétement strabiques, a permis au cabinet de fêter un heureux événement sur lequelle la presse ne tarira pas d'éloges ces prochains jours : la cinq-millième opération réussie dans cette clinique, maintenant internationalement reconnue tant pour la qualité des soins qui y sont prodigués que pour le bon goût de ses médecins.

    Et si un raout a été organisé pour l'occasion, nombreux ont été les participants parmi lesquels on aura remarqué Brigitte Fontaine, François Léotard ou encore Jacques Croze-Marie, toujours les premiers à sauter sur les plateaux de petits fours, d'oeufs mayos délicieusement décorés de ciboulette ou encore d'orteils aux piments, spécialité du cabinet ...

    Enfin la fête battit son plein jusqu'à quatre heures du matin, moment choisi par Hervé Gueymard pour allumer un feu dans le bloc opératoire en prétextant une blague potache... Il fût, bien entendu, vidé avant que la foule guindée et mortellement alcoolisée ne s'enfuit dans les ruelles avoisinantes pour essayer d'éviter les flammes et la colère de Gérard qui venait juste de découvrir qu'il n'y avait plus de toasts à la choucroûte...

    Inutile de vous dire que c'est encore Paula-Conchita notre jeune, mais expérimentée, opératrice en traitements de surfaces qui fit les frais des boutades du couillon savoyard...

    En attendant une incroyable commande vient de nous parvenir, via internet (car le cabinet Pangloss et Petiot possède aussi son propre portail télécommunicatif, sur lequel les amis fidèles du cabinet ainsi que les nouveaux venus (toujours les bienvenus) pourront commander VA, culottes glacières ou bien tout simplement prendre rendez-vous pour une consultation) :

    Un marin breton, Manfred Kervadec, va prochainement nous consulter pour son gouâtre de 73 centimètres de diamètre, et de qualité IX, ce qui n'est pas négligeable...

    Autant vous dire que nous allons nous en payer une belle tranche !



    En attendant votre ami et père, Marcel 'Magic' Petiot vous remercie

  • Face à un troupeau de fesses, que voulez vous que je fasse?...

    Face à un troupeau de fesses, que voulez vous que je fasse?
    Combler toutes ces fesses de Paris jusqu'à Fès?
    Ou m'afesser au risque de prendre une fessée?...
    Tout celà m'agace,
    Tous ces propos salaces,
    Ces corps qui s'amassent, ces gens qui s'émoussent,
    Ces pervers qui se massent, puis vont à la messe,
    Cette hypocrisie latente, cet oncle qui baise ma tante...
    ça donne du grain à moudre à la presse...

    Résolu à ne pas frustrer la foule en liesse,
    Et à ne pas irriter ce troupeau de fesses
    J'anime un stand de fesses à la kermès,
    Où je fabrique de belles merguez,
    Faites de viande de fesses et de boyau de vaches anglaises...

    Gérard Pangloss

    extrait du recueil de poêmes "des fesses par milliers" aux éditions "blouse et latex"

  • Les vieux c'était mieux avant...

    Bonsoir chers patients.
    Il est tard, je viens à l'instant d'en finir avec mon dernier patient... enfin quand je dis en finir, je ne suis pas en train de faire l'aveu d'un crime odieux, non, je viens simplement d'administrer à Madame Laraie son médicament en intrafessier (piqure dans les fesses pour les igniards de la médecine).
    C'est que cette brave dame qui par le plus malheureux des hazards habite sur le palier d'en face se sent obligeée de faire appel à moi à chaque fois qu'elle a ses vertiges. Elle m'a avoué préférer quand je lui fais sa piqure en dehors de mon cabinet. Trop austère à son goût, et puis elle n'aime pas mes portraits de Dave et de Michelle Thor accrochés aux murs.Elle les trouve "grunge et sales" Enfin...cette vieille peau s'est enfin barrée après un malencontreux croche pied de ma part; et à 00h26 je peux enfin vous délivrer le remède du jour à base de pseudonymes ébouriffants de bonheur au niveau de la drôlerie...
    Et puis comme mon blog commence à cartonner sa race au niveau des stats même si vous êtes encore timides et peu enclins à me laisser vos impressions celà m'encourage à persévérer et ce n'est pas cette incontinente de Madame Laraie qui va m'en empêcher...vieille bique!


    RERsexuel (phénomène socioculturel)
    être bucolique, est-ce avoir de la colique dans la bouche?
    Autiste reading (chanteur connu)
    Jean Pierre Moquerie (réalisateur de films chiants)
    Le gras double d'un simple boucher
    Ministère de la défonce
    le verre à soi
    la tarte t'attend
    torticolis piégés
    Bite S'embrasse (joueur de penis)
    croûton tige (attention ça fait mal au oreilles)
    Il est à vous le taboulet? il est taboo le tabouret? (hommage à Lagaf')
    "Saint Homme", il fait le bien là où il ya le mal... (slogan du véritable médicament à l'eau bénite de Lourdes)
    l'happy qui chante (bonbon euphorisant)

    Non je plaisante, j'aime bien les vieux et d'ailleurs j'en fais la collec.