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Le Pen, un mal qu'il faut soigner à temps.

Ce n'est pas un rume, c'est une grippe...

Ce n'est pas un coup de chaud, c'est un coup de froid...

Ce n'est pas le chant d'une sirène, c'est une sirène d'alarme...

Ce n'est pas un mal ordinaire, c'est un mal récurrent, il se produit tous les 7 ou 5 ans...

Il ne faut pas le prendre à la légère, car il peut provoquer des symptomes graves...

 

C'est un mal qui mute... Il n'a plus le même sexe, mais le même visage, la frange en plus, et l'oeil torve en moins.

Vous pouvez donc le battre car vous le connaissez déjà...

 

Pour que celà reste un mal passager, vos Docteurs vont vous délivrer une ordonnance simple :

révisez vos cours d'histoire, lisez entre les lignes, gardez votre esprit critique, et ne succombez pas à la tentation de voir quels effets il peut avoir à long terme.

 

Comme tout mal, il se guérit, à condition de le combattre à temps.

 

Et pour l'automédication chers clients? votre carte d'électeur et votre discernement.

 

Vos Docteurs préférés,résolument bleu blanc rouge.

Gérard et Marcel.

 

Commentaires

  • Chers docteurs,
    Ce virus est bien inquiétant. Il n'est pas une maladie génétique, pas une MST, pas un staphylocoque ou une réaction psychosomatique. Comme tous les virus, il est intelligent. Sa capacité d'adaptation est sans limite. Pour chaque obstacle qui se présente devant lui, il recule d'un pas, prend son élan et saute par dessus avec l'agilité d'un chat.
    Pourtant derrière cette apparente souplesse ce cache des arguments massifs, lourds, plombés, obscènes et vulgaires. Il s'agit de croyance radicale et d'idéologie du mal. Plutôt qu'un programme, les patients se répandent dans des surenchères de fatalisme à tendance pessimiste.
    C'est un travail de longue haleine que d'en cerner les faiblesses et chacun de nous aurait peur d'en tracer les contours.
    Combattre ce virus s'est se livrer tout entier à la science de la vérité, de l'éducation et du savoir.
    Chers docteurs, c'est un appel aux passions que de se prononcer sur cette pathologie. Espérons que calme et tempérance suffisent à nos semblables pour faire le choix des valeurs universelles qui nous honorent plutôt que celui de l'ombre.
    Votre fervent lecteur,
    Benoît

  • Chers docteurs,
    Ce virus est bien inquiétant. Il n'est pas une maladie génétique, pas une MST, pas un staphylocoque ou une réaction psychosomatique. Comme tous les virus, il est intelligent. Sa capacité d'adaptation est sans limite. Pour chaque obstacle qui se présente devant lui, il recule d'un pas, prend son élan et saute par dessus avec l'agilité d'un chat.
    Pourtant derrière cette apparente souplesse ce cache des arguments massifs, lourds, plombés, obscènes et vulgaires. Il s'agit de croyance radicale et d'idéologie du mal. Plutôt qu'un programme, les patients se répandent dans des surenchères de fatalisme à tendance pessimiste.
    C'est un travail de longue haleine que d'en cerner les faiblesses et chacun de nous aurait peur d'en tracer les contours.
    Combattre ce virus s'est se livrer tout entier à la science de la vérité, de l'éducation et du savoir.
    Chers docteurs, c'est un appel aux passions que de se prononcer sur cette pathologie. Espérons que calme et tempérance suffisent à nos semblables pour faire le choix des valeurs universelles qui nous honorent plutôt que celui de l'ombre.
    Votre fervent lecteur,
    Benoît

  • Chers docteurs,
    Suivant vos conseils, je me suis replongé dans quelques lectures à caractère scientifique dont la qualité n'est plus à prouver.
    Un chercheur d'origine roumaine, un certain Eugène Ionesco, a, en son temps, analysé un phénomène similaire se caractérisant par une mutation de l'homme en un état animal. Si dans son ouvrage, intitulé "Rhinocéros", la transformation physique apparaît comme une étape comique du processus, la transformation comportementale ressort elle comme effrayante tant elle dépossède le sujet de tout se qui caractérise son humanité au sens originel du terme. L'individu singulier devient vulnérable à toute parole proférée avec insistance et se retrouve confronté à une absence totale de jugement morale. Parmi les premiers indices de contamination Ionesco cite la paranoïa et une forme légère d'Alzheimer. On reprochera un certain manque de finesse dans l'écriture, qui aura cependant l'avantage de rendre accessible à qui sait lire entre les lignes, comme vous le dites si justement, cet ouvrage de vulgarisation sociologique.
    A lire pour se réveiller.
    Votre dévoué,
    Benoît

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