Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Poésie d'un zizi poête assis sur son transat.

Marsouin volupteux aux sourcils broussailleux, fier destrié au cul crotté, venez dans mon chateau vous délecter d'un bon gateau...
La princesse dort à poings fermés dans le lit du fermier, binant ses fesses non sans caresses.
Le manoir est grand, entouré de chênes laissant choire moultes glands sur le parterre de gazon de mon voisin Félicien.
Un côté soyeux, un côté rêche, le poil bien gras dans tous les cas, et du sebum dans les mêches; c'est comme celà qu'il vient à moi tous les matins, feignant de ne pas remarquer la tranche de lard collée sur mon veston.
Je suis heureux d'être son ami, de comparer mon zizi avec le sien... et chaque jour sur le sofa, de faire pouetpouet caca. Non, cette personne n'est pas un homme, c'est Theresa qu'elle se nomme...

à suivre.

Gérard Pangloss, médecin traitant, et poête de talent.

Commentaires

  • Caramba, voila qui fé plézir à lirrre é à entendrrrré !

    Léssssé moi vous dire dotorrrr, ké vous avaize beaucoup manqué à Perdita qué dépouis qué vous écrivezzzz plou, ellé sé fait plou la moustache.

    Moi ché fait qué dé rien n'était, ma ché mal à m'habite (non ché vé dirrre ché souis mal là ou ch'habite).

  • c'est toujours un plaisir de vous lire, à défaut de vous comprendre...

Les commentaires sont fermés.