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MORSE, RAGONDINS ET BIGORNEAUX

morvindiou du désert, concombre bien trop amer, où as tu rangé ton père et ta mère?
démangeaison labiale, toucher rectal, position foetale, as tu abusé du cantal?
Ton nombril est rétractable, deux trois oignons dans ton cartable, je n'aime guère ton air affable...
partager ces moments complices, gouter au pécher, aux mille délices, je n'ai plus peur de ton penis.
Mais ai-je la berlue ou tu sens le filet de merlu?
Pour nous deux s'en est fini des falafels, des raviolis, de tous ces plats qui rendent aigris...
Le temps passe, le temps pacs et les homos s'envoient des fax.
J'aime à penser que par le passé les gens louchaient, les gens aimaient, les gens donnaient de l'amour à la louche, même si vous trouvez ça louche, même si vous n'aimez pas lelouche, et les camemberts moulés à la louche.

Votre dévoué Docteur Pangloss dont la disparition n'inquiète personne apparemment, et dont les gentils infirmières en blouse blanche prescrivent force caresses et médecines expérimentales qui m'ont fait écrire ces quelques lignes incompréhensibles.

pouet, pouet tralala pouet pouet..

Commentaires

  • Cher Gérard,

    Je ne sais comment t'exprimer ma joie, de te sentir aussi en forme après cette cure de désintoxication à la farine de maïs que tu as suivie non sans stress.

    Ta poésie mérite vraiment le prix de la Magic Glaviouse du public et je crois que cette récompense est une marche de plus gravie sur l'escalier de la renommée.

    J'espère retrouver les opérations chirurgicales de fin de semaine très bientôt et te remercie de me suppléer dans ces tâches aux gratifications inégales.

    tendrement,

    Marcel.

  • Moi je préfère les soirées parisiennes...

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