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Lost in transpiration

 Dans ce mois d'juin, terrible mois d'juin, Devos est mort ce soiiiir


 

 Beuarrrf !
 
 Aujourd'hui je n'arrive pas à po-è-tiser,

 Nu sans étui, je dérive sans vraiment pactiser,

 Avec les vibrations qui donnent envie aux mots,

 De se mettrent en action, d'enfiler un pancho,
 
 Pour se latiniser, m'emm'ner à Mexico,

 Jusqu'à la fièvre moite des danseuses de gogo.


 
 La prédiction du jour : 'Si la france bat le Portugal, Villepin se présente au présidentielle (mon mari)'.


 Que peut on dire quelques heures après l'héroïque rencontre attendue dans une tension - pareille à la limite de l'excitation nerveuse endurable par un ornithorynque apprivoisé privé depuis une semaine de sa ration quotidienne de miettes de thon -  par toute la nation des fromages/pinard dont les représentants affrontèrent vaillament et victorieusement ceux des futchebol/sexe/samba ?

 

 Et bien fort peu de choses en définitive : la bière coula à flot, les gens sortirent dans les rues de France, criant leur joie, faisant bruyamment état de leur liesse dans une communion dépassant de très loin celle d'un thanksgiving dans la série 'Beverly Hills'.


 
 Raymond (pas l'immense qui hélas est mort) longtemps houspillé par la presse et les sceptiques, fut sanctifié pour la justesse et l'efficacité de son travail devenu tout d'un coup oeuvre divine, certains coiffeurs décidant même de relancer la mode du sourcil épais ; Zinedine traité, en première phase de compétition, de retraité faiblissant, redevint l'artisan étoilé d'un feu d'artifice de qui ? d'actions d'éclat bien entendu.


 Je suivis en tremblant cette joute sportive mais en grande compagnie : Serge, nouveau réacteur en chef du Herald Minute, et mon ami et collègue Gérard Pangloss ainsi qu'une pléiade de libertines furent les moteurs d'une ambiance torride dont les bars du quartier latin se souviendront longtemps, et munis d'un grand drapeau Allemand nous fîmes sensation.

 Tout ceci finit en partie fine dans laquelle ivresse charnelle fut mélée à des dégustations de fromages d'Auvergne : un seul constat fut flagrant : les gens baisent plus quand les bleus s'ouatent de persil. Il en va de même pour le football où tout le monde s'aime plus quand les Bleus battent le Brésil...


 Interlude musical : Comment qualifie-ton l'état de privation de la parole propre à la consternation provoquée par les élucubrations stériles d'un roquet aux dents longues ?  

La sarkocision ! D'ailleurs ne dit-on pas "Toutes ces conneries m'ont coupé le kiki" ?


 
 Mais l'été est là et vos docteurs préférés vont se mettre ardamment à la tâche pour vous préparer à le passer de la meilleure des façons. Choisissez donc avant tout un pseudo qui claque comme

 Thelma Surlitalifchisteàvinteuresurarté

 Jack Onduitsupervitecédangereux

 Omar Asmegrandissanhotristessinfini 

 Pablo Avoir

 Simon Joupésaliprêtmoiounepèntalow  (pseudo américain)  

 Albert Egovoysilétélafrébenlafètoci (pseudo pour nostalgique de la rose)

 Jenny Soutifniculottehihihi  (pseudo pour délurée)

 Nathan Pasoulaplui

 Boris Deveau demi frêre de Jean Aijamaisvudesigro

 Gontran Cétrankarrivaleur (pseudo Seuneucefo-Albanais)

 Elie Minet



 En attendant ne faites pas trop de bétises.
 

Commentaires

  • Juste un détail technique : on ne peut plus commenter les vieilles notes...
    Sinon, ce blog est plutôt déconcertant...

  • On peut s'arranger pour les commentaires des vieux posts je connais un peu les types qui gèrent le lieu.

  • Fichtre ! Palsembleu ! J'ai parlé trop vite.

    L'activation de l'option d'ouverture à durée indéterminée des commentaires n'agit pas rétroactivement, voilà une faille de la console hautetfort qui emprisonne un peu nos absurdités passées.

    En tout cas les commentaires sont maintenant ouverts jusqu'à l'infini cosmique et permettront à toutes les âmes en peine de nous communiquer des choses quand elles le souhaiteront à partir de n'importe qu'elle annonce du cabinet parue à partir de juillet 2006.

    Sniff quand même.

  • Back and so glad to read you dear doctor, voila qui rafraichit du bien par où ça passe.

    Bien le bonjour à messieurs Minute et Pangloss, qu'ils sachent que mes pensées les accompagnent, mais pas partout, faut pas déconner.

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