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Vous aussi vous parlez une langue morte?

Moi aussi je fais de la poésie avec des phrases des figures de styles, des métaphores, des rimes et tout...

La vessie de porc est dans le frigo au fond à droite en sortant de dehors.

Comment démêler le vrai du faux, les vrais des faux, les faux semblants, les vrais défauts.
La raison me fait défaut et je ne puis juger ceux qui m'entourent en évitant nombre détours, d'étourderies, du haut des tours où je m'abrite, et des cachots renfermant les démons qui m'habitent.
L'âme pesante et la peur au ventre, je sors l'appot qui les fera changer de peau. Au son factice du volatile, les gens masqués montrent leur plumage luisant faisant jaillir comme le venin, leur véritable visage. Je les méprise et les rouerais de coups quand à ce son ils font la roue. Qu'ils le veuillent peu ou proue, leur imondice me dégoute comme un égout qui déborde. Leur fange envahie l'espace où ils rampent, créatures collantes et indigentes aggripées à leurs vies étriquées, misérables créatures, petits criquets...

Ce poême est dédié à Jean-Luc.

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