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AH AH AH AH AH ! Non ce n'est pas drôle !

Peut on usurper à son corps défendant et apprécier une tarte à la tomate en regardant Roland Garros ?

Oscar Wilde a dit:"To be really medieval one should have no body. To be really modern one should have no soul. To be really Greek one should have no clothes." and it's true !!
Je ne sais pas ce qu'il voulait dire par là, mais cela m'a fait réfléchir toute cette longue journée de samedi - car les samedi sont propices à la méditation et à l'ouverture des shakras, et j'en ai tiré quelques conclusions que l'on pourraient vulgairement qualifier de 'pas piquées des vers':
la première étant que la modernité n'est pas à la portée de l'homme qui cherche trop à arborer fièrement son véritable patronyme en étendard des valeurs de sa lignée et qui, de ce fait, se retrouve rétrogradé face à l'artiste qui recrée la quintessence de sa dénommination par une présentation pseudonomiale de sa personne...
la deuxième est que ce grand homme qui a marqué la pensée humaine de la plus belle des façons en enrobant ses réflexions les plus pertinentes de phrases qui résonnent encore dans les esprits de tous ceux qui ont formulé une réflexion sur la condition humaine face à la philosophie (j'emploie le mot philosophie dans sa définition la plus primaire soit 'l'action de rechercher une sagesse de vie)...ce grand homme disais-je avait lui aussi des a priori sur les moeurs des Hellènes...
la troisième est cette incroyable, bien que courte, liste de pseudos :

Gustav Odkapraicocioneusmanèlalèrfrelaté



je crois qu'il s'agit de la liste la plus courte jamais formulé par moi-même sur ce lieu d'échanges entre patients et médecins, aussi en profite-je pour me caresser le téton avec le reste d'un foie de volaille...

Je vous salue bien,

Votre vaudou vaudois Marcel Petiot

Commentaires

  • Monsieur Petiot vous m'avez gâtée sur mon blog (adresse ci-dessous merci de venir, merci (un peu de marketing direct au milieu d'un mer de pommade ça fait de mal à personne)).
    Je ne sais que répondre sinon que vous méritez, à bien des égards les mêmes compliments que ceux que vous me fîtes (pommes-fites pour être exacte) tantôt (vatot la cruchot à l'eautot qu'elle se cassot).

    Je n'ose vous le dire mais je vous le dit quand même (pampalampampampam je t'aime (c) Patrick Bruel ... on a les références qu'on mérite) : votre plume m'excite aussi beaucoup.

    Ainsi je m'en vais continuer à alimenter le vide intersidéral de ma pauvre vie de PBDT en me disant qu'il existe encore des choses excitantes sur cette pauvre terre ... tout n'est pas perdu.

    Quant aux possibilités offertes par l'alliance de mon mens sana et de mon corpore sano (va piano) autrement dit de mon corps de déesse grecque (avec des bras) et de ma plume alerte à Malibu (mais ça marche aussi avec de la vodka), je ne saurais que dire, il faut que j'attende de déssouler complètement.

    Vous en remerciant, j'attends mon ordonnance.

    La patiente en glaise

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