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Comme une larme de miel coulant sur les joues d'une otarie.

Le coeur pris en otage, j'ère seul dans les étages,
à la recherche d'une muse jouant des airs de cornemuse...

J'entends le chant de la sirène, j'entends la corne de brume,
Je cours à perdre haleine, m'effondre sur le bitume...

Le phare s'est éteind, l'étendard est en berne,
La souffrance m'atteind, ce monde me consterne...

Qu'on se taise ou qu'on bavasse,
la vie c'est de la baise, la vie c'est trop salace...

Esclave de mes pulsions, victime de mes démons,
douleur et contrition, je suis au régime des belles émotions...

Pourquoi ces doutes, ce profond malaise?
je suis en déroute, faut-il que je me taise?

Je n'ai pas de solution... Ai-je commis des fautes?
Je demande l'absolution, pardonnez faux pas et fausses notes...


Votre dévoué Docteur Pangloss (dans une période de doutes intense).

Commentaires

  • Ne te laisse pas aller camarade de bistouri !
    Laisse encore un peu de cette chaleur
    T'amplement immerger pour vidanger tes peurs,
    Et paye cette caution qui m'otera douleurs,
    Car de par cette action tu me rendras le coeur,
    Et pour noël prochain je nous ferai du riz.

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